Édito de la rentrée
C’est la rentrée !
L’ ACF en Corse-Restonica vous propose, dès le mois de septembre, plusieurs rendez-vous. Le samedi 16 septembre aura lieu la Rencontre des cartels en présence de Deborah Gutermann-Jacquet, psychanalyste, membre de l’École de la Cause freudienne et de l’Association Mondiale de Psychanalyse. Cette matinée préparatoire aux 53è Journées de l’École de la Cause freudienne sera l’occasion pour des cartelisants de présenter leur produit de cartel mais aussi le moment d’en constituer de nouveaux pour l’année à venir. Celles et ceux intéressés par cette modalité de travail auront la possibilité de s’y inscrire.
L’après-midi, toujours en présence de notre invitée, sera consacrée à la Librairie et plus précisément aux revues de l’ECF et du Champ freudien. L’idée de cet événement est née d’un désir d’en savoir davantage sur l’histoire et l’évolution des revues Mental, Ornicar ?, Scilicet, l’Hebdo-Blog, La Cause du désir et Quarto. Une présentation particularisée de chacune de ces revues sera le point de départ d’une conversation.
Le 14 octobre, nous vous attendons à l’hôtel « Le Bastia » pour notre Colloque annuel intitulé « Papa où t’es ? ». Vous pourrez y entendre, le matin, des interventions concernant la chute du patriarcat et ses conséquences. L’après-midi sera consacrée à deux conférences, celle de Clotilde Leguil, psychanalyste, membre de l’ECF et de l’AMP et celle d’Ange Rovere, historien spécialisé dans l’histoire de la Corse. Nous vous donnerons plus d’informations lors d’une newsletter « spécial Colloque ».
Les 53è Journées de l’École de la Cause freudienne se tiendront à Paris, à la Mutualité, les 18 et 19 novembre prochains, sous le titre « Interpréter, scander, ponctuer, couper ». Si vous tenez à vous inscrire en présence, ne tardez pas car il reste peu de places. Vous avez aussi la possibilité de suivre ces Journées en visioconférence. Vous trouverez le lien pour vous inscrire à la fin de cette Newsletter.
Nous espérons que ces différents événements retiendront votre attention.
À très vite donc,
Christel Pellegrini